LE DEPUTE DE LA CREUSE AIME LE CANNABIS... THERAPEUTIQUE

Parler du cannabis avec le député (de la Creuse), avec le président (du Grand Guéret) et avec un représentant du gouvernement (de la France), ça vous tente ? Quelle que soit votre réponse, cette aimable causerie aura de toute façon lieu le MARDI 10 MARS 2020, de 13H30 à 17H30, au Pôle Domotique et Santé de Guéret (à côté du lycée Favard, au bord de l'étang de Courtille).

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Le programme va être... chargé : il commencera par un café (sauf pour ceux qui sont arrivés en retard), sera suivi par l'intervention de Jean-Baptiste Moreau (le député de la Creuse) et par celle d'Eric Correia (le président du Grand Guéret). Puis, à 14H30, un représentant du ministre de la Santé et plusieurs sommités médicales nous causeront du Cannabis à usage thérapeutique...

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Elles et ils feront un "état des lieux" avant l'officialisation du cannabis thérapeutique; diront comment vont être choisis les fournisseurs de fleurs, d'huile, de tisanes; qui les prescrira, qui les vendra et quels sont les attentes des patients... car (vous l'aviez compris dés le début) le sujet de ce "grand débat" là est de cerner comment soulager les douleurs de personnes qui souffrent.

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Vers 15H30, l'équipe médicale cèdera la place aux représentants de la future filière (dont l'industrialo-agriculteur creusois Jouanny Chatoux et le labo Centre Lab), accompagnés d'un homme de loi et d'un policier. Ils évoqueront sa mise en place en Creuse, s'interrogeront sur la légalité de la culture de la fleur de chanvre et sur l'encadrement spécifique de son usage thérapeutique.

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Ils aborderont aussi la naissance d'un programme d'études "français" qui servira à s'assurer de la bonne qualité des produits dérivés du chanvre, qu'ils viennent d'ici ou... d'ailleurs. A 17H, Finn Sondergaard, président de Centre Lab (filiale du laboratoire parisien Intsel Chimos, spécialisé dans l'importation de médicaments venus... d'ailleurs), commencera à dire le mot de la fin.

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Non loin de là, à Guéret (en bas de la place du Marché) une jeune femme officie dans une boutique nommée POP CBD où elle vend des huiles de cannabis et des tisanes contenant du chanvre biologique (cultivé en Autriche). Chaque après-midi, elle y reçoit des Creusois qui souffrent et qui veulent, grâce au cannabis, sortir enfin de leur dépendance aux médicaments opiacés !

 

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La boutique POP CBD est la seconde que cette société luxembourgeoise ouvre en Limousin (l'autre se trouvant à Limoges)... Il n'est donc pas indécent d'imaginer que certains des acteurs de cette "filière" creusoise surveilleront d'un oeil attentif (et sans doute plutôt gourmand) l'évolution du chiffre d'affaires des 2 boutiques qui existent déja... sur leur territoire.

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Comments

[arcadia]

Bien peu d'humour et de recul ce monsieur... mais comme disait ma tatie Mado : c'est la poule qui a fait l'oeuf qui caquette le plus fort. Pas toujours facile visiblement d'assumer tous ses oeufs :-D

[MARCHOUCREUSE 23]

Il a été répondu ceci à Monsieur Jouanny Chatoux : "Monsieur Jouanny Chatoux, je ne vois pas (dans le billet de Marchoucreuse sur le cannabis thérapeutique) ce que son (ou ses) auteur(s) a/ont pu dire de mal sur vous ? Rien d'autre que de rappeler que les installations de votre ferme comporte une partie industrielle (le méthaniseur) et que votre nom figure sur le programme du grand débat du 10 mars sur la "FILIERE du cannabis à usage thérapeutique". Le propos de Marchoucreuse, s'il est teinté d'ironie, n'est absolument pas malveillant. Le simple fait de suggérer que vous vous y intéressez pour en tirer des profits serait-il diffamatoire ? Merci de bien vouloir répondre afin que Marchoucreuse sache quelles "allégations mensongères", haineuses, malveillantes et diffamatoire il doit retirer de son texte !

[MARCHOUCREUSE 23]

Marchoucreuse a reçu de Monsieur Jouanny Chatoux ce message : "Monsieur, je ne vous connais pas mais pourtant vous portez des allégations mensongères sur ma personne. De la diffamation pure....qui dans le contexte actuel participe au climat haineux et malveillant dont je suis victime depuis plusieurs mois.... je me réserve le droit de poursuite judiciaire à votre égard."